Créée pour le cinéma, démocratisée par la télévision et désormais aux côtés de chacun grâce à internet, la vidéo s’impose comme le moyen d’échange de notre ère. Plus le choix ! Aujourd’hui, ce format, on l’aime, ou on l’adore.
Elle tire son succès de sa forme séduisante, rompant la monotonie du quotidien, mais surtout de son accessibilité ! En alliant l’image au son, elle ne demande aucun effort de compréhension. Eh oui ! la vidéo est aussi facile à regarder qu’à comprendre, et pour cela, le flemmard qui sommeille en chacun de nous la remercie !
Une familiarité qui favorise la sympathie
La vidéo devient l’extension de nos yeux et oreilles. Et cela, pour le plus grand bonheur du cœur et de l’esprit ! Car ce format est aussi bien vecteur d’émotion lorsqu’il nous raconte des histoires, générateur de proximité alors qu’il nous projette dans de lointains univers, porteur d’humanité quand d’autres témoignent de leurs expériences, de leurs rêves, immersifs lorsqu’il nous place comme témoin de réalités que l’on n’aurait jamais imaginé vivre, que pédagogue, si le souhait lui prend d’expliciter des données ou concepts.
Au-delà de ce qu’elle exprime, elle est également l’outil parfait pour susciter l’émotion et développer un imaginaire. Ce format généreux permet de déployer tout un univers, et faire naître chez celui qui la regarde davantage que ce qu’elle exprime.
Dynamique, esthétique, la vidéo est aussi divertissante qu’intéressante car elle permet de s’approprier un discours ou une idée avec facilité !
L’image et le son au service du rêve
Dans un climat d’inquiétude et de défiance, elle semble également l’un des meilleurs moyens pour transmettre et recréer de la confiance. Comme le dit si bien le vieil adage, on ne croit que ce que l’on voit ! Par le témoignage de l’image, chaque message peut prendre tout son sens.
Une confiance synonyme d’efficacité
Aussi, que votre objectif soit de rayonner auprès de publics experts ou diversifiés, de sensibiliser des collaborateurs et des administrés à des sujets stratégiques et fédérateurs, ou de promouvoir des compétences et services pour fidéliser et conquérir de nouveaux marchés, dès lors qu’elle est exécutée avec sens et méthode, la vidéo sert toutes les problématiques !
Faux ! La vidéo est aujourd’hui un incontournable des stratégies de communication de bon nombre d’entreprises travaillant en BtoB. En 2016, CISCO publiait une étude sur l’évolution des trafics réseaux dans laquelle l’institut affirmait que 82 % du trafic internet global serait représenté par la vidéo en 2021. Nous y sommes désormais, et c’est notamment l’évolution des productions de vidéos en BtoB qui permet d’atteindre ce chiffre.
Qu’il s’agisse d’un film corporate pour affirmer une identité ou associer des valeurs à la marque, d’un film publicitaire pour convaincre ou créer la préférence, d’un film pédagogique sous forme de motion design, d’un film marque employeur pour valoriser et recruter ou d’un film pour promouvoir l’actualité… Il existe aujourd’hui de nombreux formats pour servir les stratégies !
Attention à cet écueil ! La vidéo ne doit pas être une reprise intégrale du discours commercial, mais doit bien répondre à une problématique et toucher les cibles. Si existe une nécessité de tout dire dans une seule vidéo, c’est que les objectifs ne sont pas clairs, ou qu’il y a un besoin de structurer le discours.
Une vidéo trop longue et confuse desservira l’objectif car les cibles ne retiendront pas l’information transmise. Dans ce cas, mieux vaut scinder les propos en plusieurs vidéos pour que chacun délivre un message clé.
Les vidéos plus longues ont toute leur place dans une stratégie de communication. Utilisées en complémentarité de contenus plus courts (snack content), elles permettent au contraire d’engager de façon qualitative les cibles intéressées par les sujets à valoriser.
Un contenu plus long est surtout plus juste, plus réfléchi plus profond et plus authentique permettra de toucher au cœur votre cible de manière durable.
Désormais, les équipes de productions disposent de caméras plus légères et aux technologies plus complètes, leur permettant de réaliser des films en équipes réduites, ce qui réduit considérablement les coûts de production.
Par ailleurs le budget et les coûts peuvent toujours être optimisés : reprises d’images déjà captées, achat d’images en banque d’images pour des séquences trop onéreuses à tourner… La vidéo peut en réalité s’adapter à tous les budgets : elle coûte le prix que nous sommes prêts à y mettre !
Il suffit d’imaginer l’investissement financier et humain pour la vidéo de façon durable ! En termes organisationnels, comme de contenus, tout ce qui est produit est réutilisable s’il est pensé comme tel ! Au fil des productions, les contenus qu’ils soient faits d’image, de son ou d’animation peuvent largement enrichir la palette des outils quotidiens !
En termes d’investissement professionnel, une préparation minutieuse rime avec un temps de production et de post-production grandement réduit !
Outil au service de la stratégie, la vidéo n’est en définitive pas plus complexe à développer qu’un outil print ou digital !
Une fois les objectifs bien définis, découlera un brief clair, promettant une bonne vidéo ! C’est cette préparation qui peut effrayer, mais que si l’on est mal accompagné 12. L’étape de pré-production est en effet primordiale et garantie un tournage serein et sans faille. C’est donc une étape à ne pas négliger !
